Ecris, parle de ma miséricorde. Dis aux âmes où elles doivent chercher la consolation, c'est au tribunal de la miséricorde ; c'est là qu'ont lieu les plus grands miracles qui se renouvellent sans cesse. Point n'est besoin, pour obtenir ce miracle de faire de lointains pèlerinages, ni de faire étalage d'un quelconque cérémonial, mais il suffit de se jeter avec foi aux pieds de celui qui tient ma place, de lui dire sa misère et le miracle de la miséricorde divine se manifestera dans toute sa plénitude. Même si cette âme était en décomposition comme un cadavre, et même si humainement parlant il n'y avait plus aucun espoir de retour à la vie, et que tout semblait perdu – il n'en est pas ainsi selon Dieu, le miracle de la miséricorde divine redonnera vie à cette âme dans toute sa plénitude. Ô malheureux, qui ne profitez pas maintenant de ce miracle de la miséricorde divine ; en vain vous appellerez, il sera déjà trop tard. (1448) Ma fille, quand tu t'approches de la sainte confession, de cette source de ma miséricorde, le sang et l'eau qui sont sortis de mon cœur se déversent sur ton âme et l'ennoblissent. Chaque fois que tu te confesses, plonge-toi entièrement dans ma miséricorde avec grande confiance, pour que je puisse déverser en ton âme toutes les largesses de ma grâce. Quand tu vas te confesser, sache que c'est moi-même qui t'attends dans le confessionnal, je me dissimule seulement derrière le prêtre, mais c'est moi seul qui agis dans l'âme. Ici la misère de l'âme rencontre le Dieu de miséricorde. Dis aux âmes, qu'à cette source de miséricorde, les âmes ne puisent qu'avec le vase de la confiance. Lorsque leur confiance sera grande, il n'y aura pas de bornes à mes largesses. Les torrents de ma grâce inondent les âmes humbles. Les orgueilleux sont toujours dans la misère et la pauvreté car ma grâce se détourne d'eux pour aller vers les âmes humbles. (1602) Le Sacrement de l'Eucharistie Je désire m'unir aux âmes humaines ; mon délice est de m'unir aux âmes. Sache ceci, ma fille, que lorsque je viens dans la sainte Communion jusqu'au cœur des hommes, j'ai les mains pleines de toutes sortes de grâces et je désire les donner aux âmes, mais les âmes ne font même pas attention à moi, elles me laissent seul et s'occupent d'autre chose. Oh ! comme cela m'attriste que les âmes n'aient pas compris l'Amour. Elles se conduisent envers moi comme envers une chose morte. (1385) Ah, combien il m'est douloureux que les âmes s'unissent si peu à moi au cours de la sainte Communion. J'attends les âmes mais elles sont indifférentes envers moi. Je les aime si tendrement et si sincèrement, et elles se défient de moi. Je veux les combler de grâces – elles ne veulent pas les accepter. Elles me traitent comme quelque chose de mort et pourtant j'ai le cœur plein d'amour et de miséricorde. Afin que tu connaisses ne serait-ce qu'un peu ma douleur, imagine la plus tendre des mères qui aime beaucoup ses enfants, mais ces enfants méprisent l'amour de leur mère ; considère sa douleur, personne ne peut la consoler. Ce n'est là qu'une bien pâle image et une faible ressemblance de mon amour. (1447) Ecris pour les âmes religieuses que mon délice est de venir dans leur cœur par la sainte Communion, mais si dans ce cœur, il y a quelqu'un d'autre, je ne peux le supporter et j'en sors au plus vite, emportant avec moi tous les dons et les grâces que j'avais préparés pour elle, et l'âme ne s'aperçoit même pas de ma sortie. Après quelque temps un vide intérieur et le mécontentement attireront son attention. Oh ! si elle pouvait se tourner alors vers moi, je l'aiderais à purifier son cœur, je ferais tout dans son âme, mais à son insu et sans son consentement, je ne puis gouverner en son cœur. (1683) Vois donc, j'ai quitté mon trône céleste pour m'unir à toi. Ce que tu vois c'est à peine un coin du voile qui s'est soulevé et déjà ton âme défaille d'amour, mais quelle stupéfaction pour ton cœur quand tu me verras dans toute ma gloire ! Et je veux te dire que cette vie éternelle doit déjà commencer ici sur cette terre par la sainte Communion. Chaque communion te rendra plus capable d'être en relation avec Dieu pour toute l'éternité. (1810) L'âme miséricordieuse Ma fille, si par toi j'exige que les hommes honorent ma miséricorde, toi la première, tu dois te distinguer par cette confiance en ma miséricorde. J'exige de toi des actes de miséricorde qui doivent découler de ton amour pour moi. Tu dois témoigner aux autres la miséricorde, toujours et partout, tu ne peux pas t'en écarter, ni t'excuser, ni te justifier. Je te donne trois moyens pour exercer la miséricorde envers le prochain : le premier – l'action, le deuxième – la parole, le troisième – la prière ; ces trois degrés renferment la plénitude de la miséricorde et c'est la preuve irréfutable de l'amour envers moi. De cette manière, l'âme glorifie et honore ma miséricorde. Oui, le premier dimanche après Pâques est la fête de la Miséricorde, mais il doit y avoir aussi l'action ; et j'exige qu'on honore ma miséricorde en célébrant solennellement cette fête en honorant cette image qui a été peinte. Par cette image, je donnerai beaucoup de grâces aux âmes, elle doit leur rappeler les exigences de ma miséricorde, car même la foi la plus forte ne sera rien sans l'action. (742) Ne t'intéresse en rien à la façon dont se comportent les autres, toi comporte-toi comme je te l'ordonne : tu dois être mon vivant reflet par l'amour et la miséricorde… Sois toujours miséricordieuse envers tous et particulièrement envers les pécheurs. (1446) L'image de Jésus Miséricordieux Un soir, alors que j'étais ans ma cellule, je vis Jésus vêtu d'une tunique blanche, une main levée pour bénir, la seconde touchait son vêtement sur la poitrine. De la tunique entrouverte sur la poitrine sortaient deux grands rayons, l'un rouge, l'autre pâle. En silence, je fixais mon regard sur le Seigneur, mon âme était saisie de crainte, mais aussi d'une grande joie. Après un moment Jésus me dit : Peins un tableau selon l'image que tu vois, avec l'inscription : Jésus, j'ai confiance en toi. Je désire qu'on honore cette image, d'abord dans votre chapelle, puis dans le monde entier. (47) Je promets que l'âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire sur ses ennemis dès ici-bas, et spécialement à l'heure de la mort. Moi-même, je la défendrai, comme ma propre gloire. (48) Je veux que cette image que tu peindras avec un pinceau soit solennellement bénie, le premier dimanche après Pâques, ce dimanche doit être la fête de la Miséricorde. (49) Je désire que cette image soit publiquement exposée le premier dimanche après Pâques. Ce dimanche est la fête de la Miséricorde. (88) Ces deux rayons indiquent le sang et l'eau – le rayon pâle signifie l'eau, qui justifie les âmes ; le rayon rouge signifie le sang, qui est la vie des âmes… Ces deux rayons jaillirent des entrailles de ma miséricorde, alors que mon cœur, agonisant sur la croix, fut ouvert par la lance. Ces rayons protègent les âmes de la colère de mon Père. Heureux, celui qui vivra dans leur ombre, car la main juste de Dieu ne l'atteindra pas. (299) Ce n'est ni dans la beauté des couleurs, ni dans celle du pinceau que réside la grandeur de cette image, mais dans ma grâce. (313) Mon regard sur cette image est le même que celui que j'avais sur la croix. (326) Je donne aux hommes un vase, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la miséricorde. Ce vase, c'est cette image, avec l'inscription : Jésus, j'ai confiance en Toi. (327) Je désire que cette image soit solennellement bénie, le premier dimanche après Pâques, et qu'elle reçoive les honneurs publics, afin que chaque âme puisse la connaître. (341) Je désire que cette image soit honorée publiquement. (414) Par cette image j'accorderai beaucoup de grâces aux âmes, que chaque âme ait donc accès à elle. (570) Par cette image, je donnerai beaucoup de grâces aux âmes, elle doit leur rappeler les exigences de ma miséricorde, car même la foi la plus forte ne sera rien sans l'action. (742) Il y a déjà beaucoup d'âmes attirées vers mon amour par cette image. Ma miséricorde agit sur les âmes par cette œuvre. (1379) La Fête de la Miséricorde Divine Je désire qu'il y ait une fête de la Miséricorde. Je veux que cette image que tu peindras avec un pinceau, soit solennellement bénie, le premier dimanche après Pâques, ce dimanche doit être la fête de la Miséricorde. (49) Pendant ma fête, la fête de la Miséricorde, tu vas parcourir le monde entier et amener les âmes défaillantes à la source de ma miséricorde. Je les guérirai et les fortifierai. (206) + Demande à mon fidèle serviteur (*) de parler en ce jour au monde entier de ma grande miséricorde, que celui qui s'approchera ce jour-là de la Source de Vie obtiendra une totale rémission de ses fautes et de leurs châtiments. + L'humanité ne trouvera pas la paix tant qu'elle ne se tournera pas avec confiance vers ma miséricorde. + Oh ! combien l'incrédulité de l'âme me blesse. Une telle âme professe que je suis saint et juste mais ne croit pas que je suis miséricorde, elle se défie de ma bonté. Les démons aussi exaltent ma justice, mais ils ne croient pas en ma bonté. Mon cœur se réjouit de ce titre de miséricorde. (300) (*) : Le fidèle serviteur est l'abbé Michel Sopocko. Cette fête est issue des entrailles de ma miséricorde et elle est confirmée dans les profondeurs de mon amour infini. Toute âme qui croit et a confiance en ma miséricorde, l'obtiendra. (420) Aucune âme ne trouvera justification, tant qu'elle ne s'adressera pas avec confiance à ma miséricorde, et c'est pourquoi le premier dimanche après Pâques doit être la fête de la Miséricorde, et les prêtres doivent ce jour-là parler aux âmes de ma grande et insondable miséricorde. (570) Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. Ma miséricorde est si grande que, pendant toute l'éternité, aucun esprit, ni humain ni angélique, ne saurait l'approfondir. Tout ce qui existe est sorti des entrailles de ma miséricorde. Chaque âme en relation avec moi méditera mon amour et ma miséricorde pendant toute l'éternité. La fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma miséricorde. (699) Je te donne trois moyens pour exercer la miséricorde envers le prochain : le premier – l'action, le deuxième – la parole, le troisième – la prière ; ces trois degrés renferment la plénitude de la miséricorde et c'est la preuve irréfutable de l'amour envers moi. De cette manière, l'âme glorifie et honore ma miséricorde. Oui, le premier dimanche après Pâques est la fête de la Miséricorde, mais il doit y avoir aussi l'action ; et j'exige qu'on honore ma miséricorde en célébrant solennellement cette fête en honorant cette image qui a été peinte. Par cette image, je donnerai beaucoup de grâces aux âmes, elle doit leur rappeler les exigences de ma miséricorde, car même la foi la plus forte ne sera rien sans l'action. (742) Les âmes périssent malgré mon amère passion. Je leur offre une dernière planche de salut, c'est la fête de ma Miséricorde. Si elles n'adorent pas ma miséricorde, elles périront pour l'éternité. Secrétaire de ma miséricorde, écris, parle aux âmes de ma grande miséricorde, car le jour terrible, le jour de ma justice est proche. (965) Je désire accorder une indulgence plénière aux âmes qui iront se confesser et communieront en cette fête de ma Miséricorde. (1109) Dis, ma fille, que la fête de la Miséricorde a jailli de mes entrailles pour la consolation du monde entier. (1517) 15h00 - L'heure de la Miséricorde A trois heures implore ma miséricorde, tout particulièrement pour les pécheurs et ne fût-ce que pour un bref instant, plonge-toi dans ma passion, en particulier dans mon abandon au moment de mon agonie. C'est là une heure de grande miséricorde pour le monde entier. Je te laisserai pénétrer ma mortelle tristesse ; en cette heure, je ne saurais rien refuser à l'âme qui me prie, par ma passion… (1320) Je te rappelle, ma fille, que chaque fois que tu entendras l'horloge sonner trois heures, immerge-toi tout entière en ma miséricorde en l'adorant et en la glorifiant ; fais appel à sa toute-puissance pour le monde entier et particulièrement pour les pauvres pécheurs, car à ce moment-là elle est grande ouverte à toutes les âmes. A cette heure-là, tu peux tout obtenir pour toi et pour les autres ; à cette heure, la grâce a été donnée au monde entier – la miséricorde l'emportera sur la justice. Ma fille, essaie à cette heure-là de faire le chemin de croix autant que tes occupations te le permettent ; mais si tu ne peux pas faire le chemin de croix, entre au moins un moment à la chapelle et célèbre mon cœur qui est plein de miséricorde dans le très Saint Sacrement ; et si tu ne peux entrer à la chapelle, plonge-toi dans la prière là où tu te trouves, ne serait-ce que pour un tout petit moment. J'exige de toute créature de vénérer ma miséricorde, mais de toi d'abord, car je t'ai fait connaître le plus profondément ce mystère. (1572) La Neuvaine à la Miséricorde Divine Cette prière sert à apaiser ma colère, tu vas la réciter pendant neuf jours, sur un chapelet, de la manière suivante : d'abord tu diras un « Notre Père », un « Je vous salue Marie » et le « je crois en Dieu », puis sur les grains du Notre Père, tu vas dire les mots suivants : « Père Eternel, je T'offre le Corps et le Sang, l'Ame et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier » ; sur les grains du Je vous salue Marie, tu diras les mots suivants : « Par Sa douloureuse passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier ». A la fin tu réciteras trois fois ces paroles : « Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Eternel, prends pitié de nous et du monde entier ». (476) Pendant cette neuvaine j'accorderai aux âmes toutes sortes de grâces. (796) Je désire que durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma miséricorde, afin qu'elles puisent force et fraîcheur, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et particulièrement à l'heure de la mort. Chaque jour tu amèneras jusqu'à mon cœur un groupe d'âmes différent et tu les plongeras dans l'océan de ma miséricorde. Et moi, je ferai entrer toutes ces âmes dans la demeure de mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l'autre. Je ne refuserai rien aux âmes que tu amèneras à la source de ma miséricorde. Et chaque jour, par ma douloureuse passion, tu solliciteras de mon Père des grâces pour ces âmes. (1209) |